Les réseaux sociaux sont un fléau qui pourrait entièrement changer la face du monde. Des crimes, des impostures tout vous de bonnes actions et des campagnes de charité sont canalisés par ce canal. La vitesse de l'information est telle que se réalisent en un brin de seconde des opérations jadis séculaires. Tout dépend donc de l'intention que l'on a lorsqu'on recourt à ces réseaux. Pour la petite histoire, des maisons ont été pillées parce que les propriétaires ou les domiciliés ont affiché leur programme de vacances sur Facebook ou Instagram. La même technologie aurait pourtant aidé s'ils avaient pris le soin d'installer des caméras de surveillance ou des alarmes. Des ménages se défont pour simulation, infidélité ou autre transgression attestées. Par contre, je reste fasciné par l'efficacité de ces réseaux pour résoudre des problèmes pratiques. Des relations positives se tissent sur des sites de rencontres en ligne, non sans risques. Des personnes sont sauvées des dangers imminents qui les guettent. Des opérations bancaires sont effectuées à la minute aux quatre coins de l'horizon. Des nouvelles de naissance, décès ou mariage sont distribués instantanément à tous les destinataires. Des thèses de doctorat défendues en ligne sans contact physique, quoi de plus merveilleux pour directeur des études supérieures que je fus. Des travaux de mémoire et thèse dirigés à distance comme des cours d'enseignement livré depuis sa propre chambre. Et que des réunions, des conférences en distantiel? Merveilleux non? Mais tout a hélas son revers.
Crimes cybernétiques. Les fameux hackers sont des criminels qui entrent dans dans vos comptes, vous harcèlent et peuvent utiliser vos données contre vous pour toutes sortes d'accusations. Votre compte peut être désarçonné ou piraté pour diffuser des images ou vidéos à malsaines à votre insu. Il y a plusieurs années on recevait des images pornographiques sur le réseau officiel de certaines institutions prestigieuses sans que l'expéditeur n'en soit conscient. Il y a des trucs pour éviter ces désagréments. A présent la sécurité de ces institutions s'est renforcée quoique l'on ne soit jamais à l'abri de ces hackers. Car plus la sécurité évolue, plus les imposteurs aiguisent leur capacité de nuisance.
Crimes cybernétiques. Les banques des données de certaines institutions voire de certains pays sont infiltrées, espionnées et piratées pour des exploitations criminelles. L'espionnage passe désormais par ces technologies dites nouvelles, par la technique d'intrusion dans l'ordinateur. Certains vous diront qu'il en a toujours été ainsi et que ce n'est pas nouveau. Les premiers ordinateurs n'étaient pas construits pour des fins stratégiques et militaires? Des élections d'un pays peuvent être influencées, surveillées et manipulées par des puissantes pègres à la solde des criminels internationaux. Les services de sécurité d'un pays ou d'une fédération des pays peuvent être brouillés, détruits, dépouillés de leurs bases de données, menaçant ainsi la vie de de ces institutions et des populations. Les WikiLeaks de Julian Assange sont un exemple patent de la puissance cybernétique. L'histoire des Panama Papers est connue. Un individu peut aisément violer les secrets cachés ou classifiés secret défense dès qu'il en possède la clef d'accès. Une menace terrible qui peut même ébranler une grande puissance. À partir de l'ordinateur tout peut faire moyennant des instruments adéquats et toute information peut être accessible. Les mots de passe le plus forts sont décelables et démantelables. Tout est vulnérable quelles que soient les mesures préventives qui sont prises. Quand bien même vous effacez des messages et des informations, il est possible de les reconstituer. On se souviendra du piratage des emails qui ont torpillé la campagne présidentielle de Mme Hilary Clinton face à Mr Donald Trump. Les cas sont légion. Attention, même votre compte bancaires peut être vidé en un clin d'œil. Cybercriminalité! C'est une réalité, c'est pas imaginaire.
J'arrête là pour aujourd'hui. Anything is possible with cyber-hackers.
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