Lundi matin, j'ai reçu un MSN de mon frère Rigobert m'annonçant sans détails la mort d'un cousin Pfutila, fils de ma tante Marie Zenzu. Tante Marie est la soeur de mon défunt père. Le décès est survenu le lundi même. Dieu ait son âme. Au moment où j'écris, le corps est encore à la morgue.
La semaine écoulée, j'avais déjà appris qu'il souffrait sérieusement, mais je ne me suis pas imaginé que ce serait fatal. Pfutila est mort dans sa trentaine. Lorsque je vivais à Kenge dans les années 80 il terminait à peine l'école primaire. Je sais juste qu'il a obtenu son diplôme d'état. Rien de plus. Et pourtant, c'est un cousin au premier degré. Je me reproche de ne lui avoir pas accordé un peu plus d'attention et de temps. Toutefois, comme tous les miens, je le porte dans mon coeur.
Aux dernières nouvelles, j'apprend Tante Zenzu est venue de Kenge et se trouve chez ma mère où se tiendront les obsèques.
A l'instar du Père Teilhard de Chardin étendant ses mains sur l'univers pour célébrer, en plein désert de Chine, l'eucharistie, je me permets de m'unir en pensées à toute ma famille qui, en ce moment, pleure mon cousin. Que l'Eternel le reçoive dans son Royaume céleste! Amen.
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