26 nov. 2011

Têtu que je suis!

Décidément, il ne lâche pas prise, mon lecteur de pourfendeur. Le voilà qui revient à la charge:
"Têtu que tu es, Claver! Toi et moi savons très bien ce qui se passe dans les coulisses. Tes analyses sont certes bonnes, mais susceptibles de troubler les esprits. De quel camp es-tu? Je ne crois pas que tu agisses positivement lorsque tu mets sur le net des choses si délicates. Un devoir de réserve s'il te plaît."

Ma réponse est simple.

"Détrompe-toi, cher ami. Aucune des nouvelles que je publie sur mon blog n'est confidentielle. J'écris, réfléchis à partir de ce qui s'entend et s'amasse sur le tas. J'estime que mes lecteurs sont assez critiques pour discerner et se faire leur propre jugement. Mes positions, mes contradictions, je les exprime librement; elles n'engagent que moi. Pour ton info, je prépare un livre sur les paradoxes intrinsèques de la francophonie officielle française. S'il est une chose que je déteste dans la vie, c'est le mensonge, l'hypocrisie et la soumission à une volonté hiérarchique lorsque celle-ci s'avère arbitraire, douteuse, vengeresse. Tu as sans doute oublié ce que je t'ai raconté à ce sujet. L'email que j'ai reçu s'intitule: Si l'Eglise ne dit plus la vérité. De quel camp suis-je? Eh bien, de celui des sans-voix. On ne peut jamais étouffer la fumée dans une casserole."

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