Le séjour à Kenge tend vers sa fin. Comme toujours je n'ai pas vu tout le monde ni réalisé tout ce que j'ai prévu de faire. Pouvait-il en être autrement? J'ai quand même effectué ce pourquoi je suis venu. La fatigue. Les nouvelles courantes sont les mêmes: accidents de circulation, maladies, pauvreté, etc. On survit au lieu de vivre. A force de vivre ces situations, on finit par s'y adapter. Le moral est bon.
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