Ce matin, mon frère Nicolas m'a écrit: "Hier j'ai ete surpris de constater que certains des nôtres sont candidats députés: Ya Alexandre et Jungle, rires...Tu peux bien voir la liste sur la liste de la CENI." (sic).
Je lui ai répondu: "Enfin un e-mail de toi. Je ne suis pas étonné. La politique, c'est un métier comme un autre. Plus qu'une simple source de survie car, en plus de l'argent assuré, on dispose du pouvoir de conduire les hommes."
Peu de temps après, je découvre un article qui va dans le même sens:
"Avec la liste complémentaire livrée par la Céni, les candidats députés nationaux se comptent désormais à près de 20 000, pour seulement 500 sièges. On n'en a sans doute pas encore fini avec les postulants, dont un certain nombre de ceux qui ont été écartés entendent saisir la cour suprême de justice qui fait office ici de cour constitutionnelle.
Parmi eux figurent des candidats disqualifiés parce qu'inscrits pour le compte de plusieurs partis politiques. L'engouement, et même la détermination, des uns et des autres de figurer coût de coût parmi les éligibles paraît n'avoir qu'une seule explication : la fonction politique rémunère bien en RDC. Elle attire tout le monde, médecins, ingénieurs, enseignants de tous les niveaux, paysans."
(Source:http://www.asadhu.com/en-rdc-20-000-candidats-postulent-aux-elections-legislatives)
J'ajouterais cependant qu'il y en a qui s'y lancent par vrai amour pour le peuple congolais: ils veulent éradiquer la misère et lutter pour plus de justice, de liberté et de prospérité. Ainsi en est-il des pasteurs, prêtres, musiciens, et autres "chômeurs américains" ou hommes et femmes d'affaires. J'y croirai lorsque les faits le prouveront.
Dans deux mois, une chose est sûre: 15 000 candidats malheureux mettront en doute la transparence des élections; ils clameront haut et fort qu'ils ont gagné mais n'ont pas "corrompu" le système pour être repris sur la liste définitive des élus. Telle est la dure réalité politique des pays non alignés.
PS: Je viens de parcourir la liste de Kenge: 101 candidats pour 3 sièges. Sur la liste: des politiciens connus, des professeurs d'université, des avocats, des agents d'administration, des prêtres, des médecins, des enseignants, chômeurs, etc. J'y ai identifié de nombreux amis, même des anciens condisciples du primaire, 14 anciens élèves de Kalonda, des élèves et des cousins germains. La lutte sera acharnée entre les candidats: déchirement, dissension, mensonge, déballage, incitation au dénigrement, haine, voire hélas de sales trahisons... rien que pour le pouvoir et ses dividendes.
Je lui ai répondu: "Enfin un e-mail de toi. Je ne suis pas étonné. La politique, c'est un métier comme un autre. Plus qu'une simple source de survie car, en plus de l'argent assuré, on dispose du pouvoir de conduire les hommes."
Peu de temps après, je découvre un article qui va dans le même sens:
"Avec la liste complémentaire livrée par la Céni, les candidats députés nationaux se comptent désormais à près de 20 000, pour seulement 500 sièges. On n'en a sans doute pas encore fini avec les postulants, dont un certain nombre de ceux qui ont été écartés entendent saisir la cour suprême de justice qui fait office ici de cour constitutionnelle.
Parmi eux figurent des candidats disqualifiés parce qu'inscrits pour le compte de plusieurs partis politiques. L'engouement, et même la détermination, des uns et des autres de figurer coût de coût parmi les éligibles paraît n'avoir qu'une seule explication : la fonction politique rémunère bien en RDC. Elle attire tout le monde, médecins, ingénieurs, enseignants de tous les niveaux, paysans."
(Source:http://www.asadhu.com/en-rdc-20-000-candidats-postulent-aux-elections-legislatives)
J'ajouterais cependant qu'il y en a qui s'y lancent par vrai amour pour le peuple congolais: ils veulent éradiquer la misère et lutter pour plus de justice, de liberté et de prospérité. Ainsi en est-il des pasteurs, prêtres, musiciens, et autres "chômeurs américains" ou hommes et femmes d'affaires. J'y croirai lorsque les faits le prouveront.
Dans deux mois, une chose est sûre: 15 000 candidats malheureux mettront en doute la transparence des élections; ils clameront haut et fort qu'ils ont gagné mais n'ont pas "corrompu" le système pour être repris sur la liste définitive des élus. Telle est la dure réalité politique des pays non alignés.
PS: Je viens de parcourir la liste de Kenge: 101 candidats pour 3 sièges. Sur la liste: des politiciens connus, des professeurs d'université, des avocats, des agents d'administration, des prêtres, des médecins, des enseignants, chômeurs, etc. J'y ai identifié de nombreux amis, même des anciens condisciples du primaire, 14 anciens élèves de Kalonda, des élèves et des cousins germains. La lutte sera acharnée entre les candidats: déchirement, dissension, mensonge, déballage, incitation au dénigrement, haine, voire hélas de sales trahisons... rien que pour le pouvoir et ses dividendes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire