16 avril 2020. Ya Matesa a été inhumée à Kinkole aujourd'hui en début d'après-midi. Que son âme repose en paix. J'ai pu suivre en direct, grâce à télévideo de Herrman, la dernière partie de l'enterrement, la couverture de la tombe. Spectacle douloureux, mais je tenais à le voir. Ya Matesa a vécu humblement sa vie, mais elle a souffert longuement. Puisse la miséricorde de l'Éternel l'accompagner dans sa dernière demeure.
J'ai pu ainsi voir les personnes présentes, retrouver des visages aimés et chers à mon cœur. Ses quatre enfants vivants: Mayeluka, Kuhala, Maluta et Kiema. Et d'autres membres de famille essentiels. J'ai ainsi communié à cette cérémonie placée soumise aux lois du confinement imposé à la suite du Covid 19. Il n'y pas eu de foules, mais une poignée symbolique de personnes représentant la famille étendue. Le plus important a été de l'enterrement comme il se doit.
J'en profite pour remercier toutes les personnes qui ont compati sous une forme ou une autre, qui ont envoyé des messages textos, audios ou vidéos d'encouragement et de consolation, qui se sont jointes à nos prières pour le repose de l'âme de Ya Matesa, celle-là même qui fut ma gardienne à ma naissance et qui, à côté de Maman Christine Matsasu Kayengo d'heureuse mémoire, me berça, me prodigua des soins.
Matondu Yaya, wenda mu ngemba!
J'ai pu ainsi voir les personnes présentes, retrouver des visages aimés et chers à mon cœur. Ses quatre enfants vivants: Mayeluka, Kuhala, Maluta et Kiema. Et d'autres membres de famille essentiels. J'ai ainsi communié à cette cérémonie placée soumise aux lois du confinement imposé à la suite du Covid 19. Il n'y pas eu de foules, mais une poignée symbolique de personnes représentant la famille étendue. Le plus important a été de l'enterrement comme il se doit.
J'en profite pour remercier toutes les personnes qui ont compati sous une forme ou une autre, qui ont envoyé des messages textos, audios ou vidéos d'encouragement et de consolation, qui se sont jointes à nos prières pour le repose de l'âme de Ya Matesa, celle-là même qui fut ma gardienne à ma naissance et qui, à côté de Maman Christine Matsasu Kayengo d'heureuse mémoire, me berça, me prodigua des soins.
Matondu Yaya, wenda mu ngemba!
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