21 décembre. Après un départ inhabituel, je me trouve à Londres depuis hier quelque peu forcé par la force des choses. Le littéraire aime bien les syllepses. Le voyage s'est bien déroulé malgré quelques moments pathétiques avant l'atterrissage à Heathrow. Le pilote a insisté que tous les appareils électroniques soient éteints plutôt que d'être mis en flight mode parce qu'il effectuait ou effectuerait un atterrissage automatique. Comme le vol VS132 était à moitié vide, je me suis déplacé vers un siège à la fenêtre afin de vivre l'événement de visu. J'ai alors observé, avec quelque émoi, la longue descente dans l'épais brouillard qui ornait l'aéroport. Travail d'un véritable professionnel.
La sortie a duré plus d'une heure tellement il y avait du monde en dépit du bon nombre d'agents assignés aux guichets UK Borders. L'attente était longue, mais moins frustrante que lors de mon passage de juin. Le temps de récupérer les bagages, je me suis retrouvé dehors. Le contact avec le froid hivernal n'était pas mal. Emos et Mado sont venus m'ont rejoint alors que je tentais de me connecter sur le réseau des médias. Le reste s'est passé sans encombres.
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