12 mai, journée mondiale des infirmiers. Hommage à leur noble métier et service impayables. Ce sont eux les véritables secouristes de l’humanité. J’allais même dire sauveurs des humains si je ne m’inscrivais pas dans la ligne de ma formation spirituelle. Un lecteur m’a soufflé que le terme « sauveteur » serait plus approprié. Soit. Ces hommes et ces femmes abattent un travail dont la noblesse n’est quasiment pas reconnue à juste titre. Un métier exigeant mais relativement mal rémunéré. Un métier qui mêle humilité et dignité, charité et professionnalisme dans son exercice. Ils sont de tous les combats propres à sauver la vie. Quoique la mort soit le destin de tous, j’avoue que leur effort mérite la reconnaissance de la communauté humaine. Sacrifice, abnégation, droiture et rigueur sont les vertus qui accompagnent cette profession o combien belle et merveilleuses. Merci les gars!
Je remonte spécialement à deux infirmiers qui ont marqué mon enfance. Le premier, Papa Samson, m’a soigné à Kabwita. Nous l’appelions affectueusement Simisioni, allez-y voir. Je me souviens de son teint clair et lunettes. Nous sommes entre 1959 et 1963. À Mutoni, l’infirmier était Papa Jean Marie Ndombi. Un cousin à mes mamans. Deux braves gars que je détestais parce qu’ils me piquaient. Jusqu’à ce jour j’ai je n’aime pas les piqûres. Je pense spécialement à tous mes proches infirmières et infirmiers qui assument nuit et jour cette responsabilité vitale. Honneur et respect à toutes et tous. Bravo et persévérance!
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