Oui, le deuxième jour s'est passé sans une réelle histoire. Dans le calme et la sérénité. Dans l'inquiétude du rendez-vous manqué avec ma U certes, mais aussi dans un chaos difficile à décrire. Par contre sur le plan de l'écriture académique, j'ai réussi à mettre en place la structure de ma dernière intervention sur le marxisme et le monde francophone. Contrairement aux habitudes, je suis resté à la maison l'avant-midi afin de me consacrer d'assez près à mon travail de publication. Comme toujours dans de pareils cas, on ne va jamais au bout de sa peine ni de son désir. J'ai commencé le noble travail, mais j'étais continuellement harcelé de visites, de problèmes d'ordre social et financier. Soit. J'ai réussi à canaliser positivement les énergies.
L'avant-midi s'est passé sans histoire. Le temps d'écrire quelques lignes de mon article, la lumière s'est éteinte. L'ombre s'est appaissie en dépit de nos invocations. Une personne a fini sa dette après près de 8 ou 9 ans. Incroyable mais vrai, je n'ai pas l'envie de raconter cet épisode que je juge irresponsable et immature. La vie continue.
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