Voici le message:
"Chers frères,
J'ai la douleur de vous annoncer le décès de Fedo Kayolo, fils de Père Tata Kahuma depuis la nuit d'hier. Le jeune homme était anormal pendant ces cinq dernières années. On disait de lui qu'il aurait adhéré à un culte secret pour vite améliorer son statut social! Le programme des obsèques n'est pas encore fixé jusque-là. Salut à tous.
Rigobert" (Email du 23 mai 2012).
Licencié en droit, assitant à l'Unikin, mon cousin est né au moment où je commençais petit séminaire de Kalonda. Son père, Papa Kapita, était le frère puiné du mien. C'est surtout lorsque je travaillais à Kenge qu'il m'était devenu proche. En 1993, il faisait le maître des cérémonies "noires" pour un pasteur illuminé nommé Kahungu. Je l'avais mis en garde contre ses tendances occultistes mais c'était plus fort que lui. Je l'ai revu en 2003 et 2005. Les nouvelles le concernant étaient depuis longtemps alarmantes. Le voilà mort aujourd'hui!
Frédéric, mon frère, pardonne-moi de t'avoir négligé ces dernières années car j'aurais pu te rencontrer dans ta réclusion, lors de mon dernier séjour au pays. Je n'ai pas eu l'occasion de te dire "au revoir". Adieu, mon frère de sang! Wenda mboti, muleki, Nzambi kakutanina. Tuyindulaka betu tusadi!
"Chers frères,
J'ai la douleur de vous annoncer le décès de Fedo Kayolo, fils de Père Tata Kahuma depuis la nuit d'hier. Le jeune homme était anormal pendant ces cinq dernières années. On disait de lui qu'il aurait adhéré à un culte secret pour vite améliorer son statut social! Le programme des obsèques n'est pas encore fixé jusque-là. Salut à tous.
Rigobert" (Email du 23 mai 2012).
Licencié en droit, assitant à l'Unikin, mon cousin est né au moment où je commençais petit séminaire de Kalonda. Son père, Papa Kapita, était le frère puiné du mien. C'est surtout lorsque je travaillais à Kenge qu'il m'était devenu proche. En 1993, il faisait le maître des cérémonies "noires" pour un pasteur illuminé nommé Kahungu. Je l'avais mis en garde contre ses tendances occultistes mais c'était plus fort que lui. Je l'ai revu en 2003 et 2005. Les nouvelles le concernant étaient depuis longtemps alarmantes. Le voilà mort aujourd'hui!
Frédéric, mon frère, pardonne-moi de t'avoir négligé ces dernières années car j'aurais pu te rencontrer dans ta réclusion, lors de mon dernier séjour au pays. Je n'ai pas eu l'occasion de te dire "au revoir". Adieu, mon frère de sang! Wenda mboti, muleki, Nzambi kakutanina. Tuyindulaka betu tusadi!
Paix à ton âme, Freddy Kayolo.
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