Samedi, 9 mars 2013 matin. Je reçois par un message collectif de l'abbé René Ngambele la nouvelle du décès de la mère de l'abbé Evariste Pini-Pini. Dans l'après-midi m'arrive un texto du père Séraphin Kiosi m'annonçant la mort de la mère de l'abbé Noël Matonga. Paix à leur âme!
Voici le mot que j'ai spontanément écrit à René et Evariste:
"Quoi dire? Mes condoléances les plus émues. J'en sais quelque chose: une maman ne meurt jamais, elle restera vivante tant que nous ses enfants vivrons.
Puisse le Seigneur lui accorder le repos éternel au Royaume Céleste.
En union de prières! Claver"
Puisse le Seigneur lui accorder le repos éternel au Royaume Céleste.
En union de prières! Claver"
J'ai tenté de joindre Noël sans succès, mais j'ai demandé à Séraphin de lui transmettre mes sympathies. La première fois que j'avais rencontré Noël à Kalonda en septembre 1969, il avait la tête rasée parce qu'il venait de perdre son père. Quarante-quatre années se sont écoulées avant que Maman aille rejoindre son mari au paradis. Réaction de mon épouse lorsque je lui ai raconté cet épisode: "Ngoo, Mama abokola bana na ye ye moko" (Cette maman a élevé ses enfants toute seule). En outre, j'ai bien connu Maman à Kenge, où elle était voisine de ma cousine, Ya Mathesa au Camp Mupepe. Qu'elle repose en paix!
La vie a fait que je sois condisciple de classe d'Evariste au petit séminaire (69-75) et de Noël au grand séminaire (75-78). J'ai été reçu à la vêture avec Noël (78) et au diaconat avec Evariste (82). C'est dire combien ils me sont proches, et combien je compatis à leur douleur. De ma propre expérience, j'ai retenu une chose: "Une maman ne meurt jamais dans le coeur de ses enfants"
Courage et union de prières
C
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