Le semestre tire vers sa fin, mais c'est comme s'il venait à peine de commencer. Des réunions à n'en pas finir. Des projets ou des rapports à recommencer. Des journées d'études, des activités culturelles à organiser ou à voir. En plus de la vie réelle à vivre. Et chaque jour qui passe possède son lot de travail, de corvée, de contraintes, mais me dit-on, il faut savoir se créer des espaces de liberté. C'est plus facile à dire qu'à faire ou à vivre. Mon mandat de chef de département arrive à terme dans trois mois; je n'ai aucune envie de le refaire car il faut savoir passer la main. Un autre candidat plus performant ou plus motivé est disponible. D'autre part, ayant accompli mon devoir, j'estime que c'est un poste par lequel tous mes collègues doivent passer, car il fait partie du leadership de l'université. J'ai appris une chose à ce poste: la modestie et la responsabilité. Bien sûr que j'ai exercé des fonctions plus importantes par le passé, mais celle-ci m'a appris à respecter les hommes et l'institution. Je m'égare de mon propos initial quoique ce que j'écris ait du sens. J'y reviendrai.
Eh oui, il y a encore beaucoup à faire.
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