De toutes les semaines de cette année, la semaine du 11 au 17 février a été la pire. Du moins jusque là. Sur beaucoup de plans, il y a eu beaucoup d'anicroches. Par contre, je me pose en tout de façon positive; au milieu des tourments de la vie, j'ai un sens d'optimisme qui me fait croire que le lendemain sera meilleur. Dieu merci, je suis entouré de personnes qui m'aiment et m'aident à surmonter les difficultés. J'ai des ami(e)s qui me donnent des conseils appropriés. Et là, comme toujours, j'en arrive à découvrir les fonds des pensées.
Février est un mois important dans ma vie. Mois de délibérations décisives de ma vie. Mes intimes savent de quoi je parle au cas où ils ne retrouveraient pas des signes sur ce blog. Autour de moi de personnes proches célèbrent leurs anniversaires: Koka, Shemsi, Jean-Louis comme Mama Mapasa. Même des amis récents comme Joy et Stephen.
Il est des temps où rien ne marche. "Kana kima kele ya nge ve, yo ta kusokuka bonso lumba" (sic), dixit Mgr Edouard Mununu, évêque émerite de Kikwit, lors des vœux perpétuels de sœurs en 1987 à Soa. Je préfère ne pas traduire afin de garder la saveur de ce dicton si profond. J'ai pris la grave décision de briser un lien que je croyais important, qui est devenu fade, tourné en vinaigre après tant d'années d'illusions et de désillusions. Eh oui, c'est la vie. D'autres incidents mineurs se sont ajoutés à cette série comme pour me rappeler que je ne suis qu'un simple humain.
Revenons sur le sol. Il y a dix jours, j'ai remis ma vieille carcasse de BMW à un mécanicien afin de réparer le "Central Lock", vu que les quatre ou cinq portières ne se fermaient plus automatiquement. J'ai cru qu'il s'agissait d'un problème électrique, et j'ai sollicité les services d'un électricien attaché à un garage. Malheureusement, le boulot prévu pour quelques heures s'est éternisé en jours. Un expert en la matière appelé à la rescousse n'a pas trouvé mieux que de descendre le tableau de bord et s'est vu incapable de remettre la machine en marche. Le système antivol a été déclenché. D'autres spécialistes sont intervenus sans que la machine ne redémarre. Hier, après la messe dominicale, l'idée m'est venue de contacter un co-paroissien, Mr R. Boyce, qui possède deux de ces bolides allemands mais qui sont dans un état de loin meilleur que le mien. Je suis très attaché au mien et attend qu'il finisse doucement, mais ça pourra encore durer des années. Il m'a recommandé son mécanicien nomme Ivan dont il a dit tant de bonnes choses. C'est ce dernier qui vient de réparer le véhicule après dix jours d'attente, d'incertitude, d'ennuis. La carcasse peut de nouveau rouler sans vergogne et défier les derniers cris.
Or justement, à cause de cette panne, il m'a été très difficile de m'organiser. Par exemple, le matin du vendredi était prévu que je passe à une émission "Morning Barbados" dans le cadre de l'African Awareness Month (Mois d'Eveil Africain) à 7h00. J'ai pris un taxi qui m'y a conduit plutôt à 7h30, obligeant la CBC à me reprogrammer pour 30 minutes plus tard. Heureusement que tout s'est bien passé. Cette semaine arrivent mon beau, Éphrem de Londres et ma belle, Mado de Strasbourg. Imaginez le cauchemar qui se poserait, sans cette voiture. Bon voyage et bon séjour chez nous!
J'ai toujours clamé que je suis un béni de Dieu. Je le répète haut et fort: "I am blessed". Beaucoup de choses se résolvent d'elles-mêmes pour moi. Je suis entouré de vibrations positives qui font que je me sente à l'aise et garde mon optimisme, même au plus mauvais moment. J'ai même eu un cauchemar: des gens armés ont tiré sur moi, je me suis réveillé en sursaut il y a trois ou quatre jours. Le censeur a fonctionné... comme toujours. La main de Dieu veille sur moi. Trêve de cauchemars.
Il est des temps où rien ne marche. "Kana kima kele ya nge ve, yo ta kusokuka bonso lumba" (sic), dixit Mgr Edouard Mununu, évêque émerite de Kikwit, lors des vœux perpétuels de sœurs en 1987 à Soa. Je préfère ne pas traduire afin de garder la saveur de ce dicton si profond. J'ai pris la grave décision de briser un lien que je croyais important, qui est devenu fade, tourné en vinaigre après tant d'années d'illusions et de désillusions. Eh oui, c'est la vie. D'autres incidents mineurs se sont ajoutés à cette série comme pour me rappeler que je ne suis qu'un simple humain.
Revenons sur le sol. Il y a dix jours, j'ai remis ma vieille carcasse de BMW à un mécanicien afin de réparer le "Central Lock", vu que les quatre ou cinq portières ne se fermaient plus automatiquement. J'ai cru qu'il s'agissait d'un problème électrique, et j'ai sollicité les services d'un électricien attaché à un garage. Malheureusement, le boulot prévu pour quelques heures s'est éternisé en jours. Un expert en la matière appelé à la rescousse n'a pas trouvé mieux que de descendre le tableau de bord et s'est vu incapable de remettre la machine en marche. Le système antivol a été déclenché. D'autres spécialistes sont intervenus sans que la machine ne redémarre. Hier, après la messe dominicale, l'idée m'est venue de contacter un co-paroissien, Mr R. Boyce, qui possède deux de ces bolides allemands mais qui sont dans un état de loin meilleur que le mien. Je suis très attaché au mien et attend qu'il finisse doucement, mais ça pourra encore durer des années. Il m'a recommandé son mécanicien nomme Ivan dont il a dit tant de bonnes choses. C'est ce dernier qui vient de réparer le véhicule après dix jours d'attente, d'incertitude, d'ennuis. La carcasse peut de nouveau rouler sans vergogne et défier les derniers cris.
Or justement, à cause de cette panne, il m'a été très difficile de m'organiser. Par exemple, le matin du vendredi était prévu que je passe à une émission "Morning Barbados" dans le cadre de l'African Awareness Month (Mois d'Eveil Africain) à 7h00. J'ai pris un taxi qui m'y a conduit plutôt à 7h30, obligeant la CBC à me reprogrammer pour 30 minutes plus tard. Heureusement que tout s'est bien passé. Cette semaine arrivent mon beau, Éphrem de Londres et ma belle, Mado de Strasbourg. Imaginez le cauchemar qui se poserait, sans cette voiture. Bon voyage et bon séjour chez nous!
J'ai toujours clamé que je suis un béni de Dieu. Je le répète haut et fort: "I am blessed". Beaucoup de choses se résolvent d'elles-mêmes pour moi. Je suis entouré de vibrations positives qui font que je me sente à l'aise et garde mon optimisme, même au plus mauvais moment. J'ai même eu un cauchemar: des gens armés ont tiré sur moi, je me suis réveillé en sursaut il y a trois ou quatre jours. Le censeur a fonctionné... comme toujours. La main de Dieu veille sur moi. Trêve de cauchemars.
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