16 juin 2022. Une toile embrouillée, difficile à expliquer mais simple à comprendre. L'agresseur est identifié, au lieu de le chasser par les armes, on se contente d'une rhétorique de la paix et de la négociation. "Qui veut la paix, prépare la guerre". Que le chef des armées se rende au front. Il n'a pas le choix. Peut-il gagner cette guerre avec une armée infiltrée au sommet par l'ennemi agresseur? Je sais que, dans l'histoire, ce sont les guerres qui déterminent les frontières des territoires, hélas. Il s'agit d'une conquête de la terre, pas d'autre chose. L'ennemi le sait aussi. C'est le littéraire qui pense et se pose des questions. Cette guerre se gagnera-t-elle vu les complicités et trahisons internes qui gangrènent les appareils militaires et politiques congolais? Aux stratèges de guerre et autres géopolitologues de réfléchir sur tous les aspects de ce conflit. Il semble que la population comprend mieux les enjeux de cette situation que la classe politique. Je n'ai pas fait l'école militaire. Donc, je me trompe comme toujours lorsque je m'égare dans des sujets que je ne maîtrise pas. La guerre est là, il faut défendre la patrie armes à la main.
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