A l'époque, à chaque remaniement ministériel, les heureux promus comme pour faire allégiance à leur destin juraient fidélité au président-fondateur et au guide. Certains s'engonçaient tellement dans leurs abacos que la voix sortait étouffée, rauque ou grillonnante. Ils manquaient, seulement, de dire une chose:" je jure obéissance au dictateur." Et dictateur, ce dernier l'était aux yeux de toute la presse internationale, sauf à ceux de ses protégés fanatiqques.
Joseph Kabila a prêté serment aujourd'hui à Kinshasa, devant la Cours suprême de la Justice. Que signifie encore la farce de mauvais goût que prépare Etienne Tshisekedi au Stade des Martyrs, et sur quelle constitution? Le pouvoir n'est pas dans la rue. Lui seul et sa clique y croient, mordicus. On le coffrera, sans aucun doute, ce prétendu président qui joue sa dernière carte. Politique, politique... mani pulite!
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