Rien, alors rien. Rien? Pas si vrai que cela. Je peux le prétendre tout en étant conscient du contraire. A une époque donnée, je m'intéressais au rien, mais c'est révolu aujourd'hui à l'heure de l'Internet. Le monde est devenu un grand village. Nul besoin d'être sur place pour savoir ce qui se passe ailleurs. Sauf peut-être dans le coeur de quelqu'un.
Je pense désormais à un autre rien: la maladie. Il y a notamment des assurances-maladies, des assurances-vies, des assurances-prêts, et des assurances-paies. Vous avez bien lu. L'expression n'est pas de moi, elle vient d'un agent payeur qui, au gré de ses intérêts, distribue la cagnote pécuniaire des fonctionnaires. Il peut décider comme bon lui semble.
Hier, après avoir laissé dans mon bureau quelques instants seule une visiteuse de courtoisie - encore une fois l'expression est forgée - j'ai longtemps regretté d'avoir commis une erreur lorsque mon porte-monnaie est devenu introuvable. Le soupçon est tombé sur l'impromptue. Allez-y voir. C'était sans compter avec la main providentielle de Dieu qui a évité que j'accuse une innocente pour un mal qu'elle n'a pas commis. Cela m'a pris une bonne heure de soupçons. Et la personne longuememt suspectée n'a pas été inquietée et ne s'est rendu compte de rien. Alors de rien car tout s'est passé dans ma tête.
Hier encore j'ai reçu dans ce même un pasteur ghanaën, Reverend Salomon, qui officie ici. Il entame des recherches théologiques et historiques sur les rapports entre le
Ghana et la Barbade à la suite de l'esclavage. A noter que près de 60% de la population noire de cette île sont originaires de la Côte d'Or. Comme par coïncidence, je connais à New York une collègue, Natacha, qui travaille sur ce thème précis et envisage de visiter le Ghana fin avril. J'ai donc décidé de les connecter. Une collaboration scientifique qui sans aucun doutr s'annonce prometteuse. Let's cross the fingers! Rien de neuf sous le soleil.
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