"Le Français peut entrer au Sénégal rien qu'avec son permis de conduire, alors que le Sénégalais doit trimer des mois et des mois d'humiliation et d'attente d'un certificat d'hébergement pour obtenir le visa avant de fouler le sol français. Et quand bien même il obtiendrait ce précieux document de Schengen, rien ne garantit qu'il entrera en France. C'est la triste image de la réciprocité, du partenariat et de l'égalité qu'offre la francophonie.
Les Chinois et les Japonais sont reçus comme des rois alors qu'ils ne pigent aucun mot français, rien qu'avec quelques phrases d'anglais. C'est cela la réalité, Claver." (EJ)
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