Ce blog, ce que j'écris n'engage que moi. J'écris ma vérité. Je répète ce que j'ai toujours affirmé: je n'ai de compte à rendre à personne. Tout ce que j'écris est toujours par rapport à moi, même et surtout les éloges funèbres. Vous aurez remarqué dans ces éloges des phrases du genre: "j'ai connu untel en ... à ... dans telle ou telle circonstance" "j'ai vécu ceci ou cela avec... " "il aimait ceci... n'aimait pas cela...", "il m'a dit:...". Je me fie à ma mémoire et à mes émotions personnelles pour relater des faits vécus. A ceux ou celles qui ne le savent pas, c'est mon autobiographie que je réécris à travers les faits vécus, à travers les opinions et positions que je défends, à travers les personnes vivantes ou décédées que j'évoque. Parcourez les 800 articles qui composent ce blog à ce jour, vous verrez qu'il y a de la matière à constituer deux ou trois livres en librairie.
Il y a du vrai, c'est-à-dire de la vérité littéraire, ma vérité. Une vérité qui n'existe que dans l'espace de l'article ou du blog. Du vrai dans la relation des faits vécus historiquement. Et aussi une part de vérité "imaginaire" qui en fait une oeuvre de création littéraire. J'insiste sur le littéraire que je suis, car je n'ai pas d'autre prétention. Lorsqu'évoquant par exemple Antoine Faustin Mampuya d'heureuse mémoire, je révèle son surnom de "La Tortue", je parie que je suis seul à en garder souvenir; par contre, les amis se souviendront qu'on s'appelait mutuellement: "L'homme". La vérité subreptice de ces pseudonymes n'est connue que de moi. Elle m'appartient, et à ce titre je m'octroie le droit de l'écrire. J'ai vécu des événements uniques avec lui, que jamais personne n'otera de mon parcours.
Lorsque je présente ou défends mes idées, je le fais comme les circonstances du moment me le permettent. Ainsi, j'assume les contradictions, les bourdes, les illogismes et les dérapages que comporte mon blog. Au-delà de tout cela, j'ai des principes simples qui guident ma vie et auxquels je tiens mordicus. Je défends des valeurs à travers lesquelles je me situe par rapport à mon environnement. Je défends la vie, la liberté, le respect, la paix, la justice... dénonce le mal sous toutes ses formes: guerre, exploitation, racisme, injustice, oppression, viol, violence, meurtre, etc.
Je prends le soin de vérifier les sources de mes informations, de voiler parfois l'identité des informateurs par décence, en même temps que je reprends intégralement des emails que je reçois des lectrices et lecteurs de ce blog. Soyez sûrs d'une chose: je n'écris pas tout ce que je sais, nit tout ce que je vois, ni tout ce que je lis, ni tout ce que j'apprends. Je discerne attentivement mes sujets et projette ce que pourrait être la réception avant de publier quoi que ce soit. Une chose est certaine en fin de compte: j'écris ce que je veux et cela n'engage que moi. Ceci me ramène au livre premier des Essais de Montaigne: "Je suis moi-même la matière de mon livre."
Il y a du vrai, c'est-à-dire de la vérité littéraire, ma vérité. Une vérité qui n'existe que dans l'espace de l'article ou du blog. Du vrai dans la relation des faits vécus historiquement. Et aussi une part de vérité "imaginaire" qui en fait une oeuvre de création littéraire. J'insiste sur le littéraire que je suis, car je n'ai pas d'autre prétention. Lorsqu'évoquant par exemple Antoine Faustin Mampuya d'heureuse mémoire, je révèle son surnom de "La Tortue", je parie que je suis seul à en garder souvenir; par contre, les amis se souviendront qu'on s'appelait mutuellement: "L'homme". La vérité subreptice de ces pseudonymes n'est connue que de moi. Elle m'appartient, et à ce titre je m'octroie le droit de l'écrire. J'ai vécu des événements uniques avec lui, que jamais personne n'otera de mon parcours.
Lorsque je présente ou défends mes idées, je le fais comme les circonstances du moment me le permettent. Ainsi, j'assume les contradictions, les bourdes, les illogismes et les dérapages que comporte mon blog. Au-delà de tout cela, j'ai des principes simples qui guident ma vie et auxquels je tiens mordicus. Je défends des valeurs à travers lesquelles je me situe par rapport à mon environnement. Je défends la vie, la liberté, le respect, la paix, la justice... dénonce le mal sous toutes ses formes: guerre, exploitation, racisme, injustice, oppression, viol, violence, meurtre, etc.
Je prends le soin de vérifier les sources de mes informations, de voiler parfois l'identité des informateurs par décence, en même temps que je reprends intégralement des emails que je reçois des lectrices et lecteurs de ce blog. Soyez sûrs d'une chose: je n'écris pas tout ce que je sais, nit tout ce que je vois, ni tout ce que je lis, ni tout ce que j'apprends. Je discerne attentivement mes sujets et projette ce que pourrait être la réception avant de publier quoi que ce soit. Une chose est certaine en fin de compte: j'écris ce que je veux et cela n'engage que moi. Ceci me ramène au livre premier des Essais de Montaigne: "Je suis moi-même la matière de mon livre."
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