22 oct. 2014

Tu t'en attribues des choses, toi!

Je n'aurais pas dû publier l'email qui suit, mais je le fais par souci de conséquence.

"Cher Claver,
Ma réaction ne peut pas attendre car à propos de Mgr M'Sanda, tu t'attribues décidément des choses, réécris l'histoire à ta façon et à ton profit surtout. Combien de fois te dirai-je que tu n'étais plus dans le coeur du prélat? Tu te souviens des circonstances de ton départ: il a été déçu et n'a pas caché son indignation. Tu le sais mieux que quiconque les espoirs qu'il avait placés en toi et que tu as en quelque sorte dilapidés. C'est beau de te voir révéler aujourd'hui des choses peu connues d'autres, mais avoue que tu en fais un peu trop.
Oui, il t'a appris à travailler. Tu prétends même que tu continues de travailler sur le modèle de ton temps du secrétariat. Là alors, tu n'as pas évolué après trente ans. Tant pis pour toi! Je dois toutefois reconnaître que tu lui es resté fidèle euh... en paroles. Ton zèle à le porter aux nues a l'air de cacher quelques trahisons insoupçonnées que toi seul connais. Là, je peux dire que tu as été un secrétaire parfait, c'est-à-dire un collaborateur potentiellement dangereux qui sait tout du patron, qui peut le menacer et au besoin l'éliminer, et dont en revanche le patron ne sait rien ou peu. Lorsque tu affirmes que tu connaissais ses points forts et faibles, je ne peux que te croire. Cinq ans de collaboration, c'est pas peu. Tu sais imparablement distiller tes informations, pas de doute à ce sujet.
Claver, je te conseillerais toutefois d'éviter de prendre position dans ces choses car chaque fois que l'occasion se présente, tu ne manques de jeter des flèches à l'actuel leadership du diocèse. Tu utilises ton blog comme une véritable arme contre le silence de tes "personnages"
Qu'à cela ne tienne, j'admire ta constance dans ton attachement à "ton père-évêque" comme tu dis que beaucoup de tes congénères et amis ont, pour plus d'une raisons, vomi à la fin de ses jours. "Singa dia zeba", aimait-il répéter dans sa retraite de Limete." Respectons sa mémoire! Paix à son âme!'
(Email du 22 octobre 2014)

Ma réponse à chaud:

"Merci cher ami de me remettre à ma place! Je m'en contenterai plutôt que de me répandre en prétentions indécentes et ennuyeuses qui édulcoreraient ma fidélité envers le Prélat.
C."

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