« En
ce jour-là, Marie s’est rapidement mise en route vers la maison de sa
cousine Elisabeth… »
Chers
frères,
« Ma
santé va très mal, viens me voir encore une fois »
C’est en ces et ses
termes que l’abbé Nicolas Berends s’est adressé à l’abbé
Willy Wele-Wele le priant de communiquer son numéro
de téléphone à l’abbé Henri Tamuzi, Ce lundi 17 novembre 2014.
Après lui avoir téléphoné,
il a, une fois de plus, repris : « Venez le plus vite que
possible ». L’heure n’était plus aux hésitations. Nous avions
décidé ces 19 et 20 novembre, en dépit de nos charges pastorales, de prendre la
route pour aller le voir dans son appartement à Arnhem et nous rendre compte concrètement
de son état de santé. Oui, effectivement sa santé va très mal.
« Non, le corps
médical qui le suit et l’accompagne depuis son dernier départ et sa
rentrée du Congo-Kinshasa ne peut plus rien faire d’extraordinaire »
et nous en sommes témoins. Il n’avait pas d’autre choix
aujourd’hui, sinon quitter sa résidence pour un centre des soins
palliatifs. Notre présence était prophétique ; car il pouvait partir
aujourd’hui. Oui, le Seigneur est grand.
Nous avons pu, après
plusieurs difficultés de connexion, joindre Monseigneur Jean Gaspard Mudiso ; et ils ont pris du temps de dialoguer.
Nico nous demande de prier
avec et pour lui et de venir, si c’est possible, à son enterrement.
« Peuple
des baptisés marche vers ta Lumière
Le
Christ est ressuscité, alléluia, alléluia »
Pour
Nico Berends,
Willy Wele-Wele et Henri Tamuzi
In Gebetsverbundenheit
RépondreSupprimerBeto sambila mpangi na beto Nico Berends.
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