Avec Donald Trump, on voit une méthode atypique: l'homme d'affaires va très vite en besogne. Il a mis tout son poids pour juguler l'Obamacare, mais la réalité du terrain faisant craindre une perte d'assurances pour environ vingt-quatre millions d'Américains selon les détracteurs a pris le dessus. Le parti républicain demeure divisé sur ce sujet. Quoique la politique soit un tissu de mensonges, il y en a qui essaient d'être sincères et d'appliquer leurs promesses de campagne électorale. Trump appartient à ce dernier groupe. Il a été élu pour accomplir un projet spécifique: America First n'est pas qu'un slogan, mais un véritable programme de vie sociale et politique. En dépit de l'échec de cette tentative, Mr President, homme d'affaires expérimenté, a été élu comme on dit contre l'establishment; il réussira sans aucun doute à ramener les emplois au pays. Mais, il apprend par ce revers que le chemin de la réussite ne demeure pas sans embûches.
Du côté de la Seine, François Fillon s'en prend directement au président François Hollande, l'accusant d'entretenir des "cabinets noirs". Scandale ou calcul politique? Une manoeuvre de diversion pour détourner l'attention des affaires qui l'accablent, sans aucun doute, mais en même temps pour rédorer son image en montrant que le "linchage médiatique" dont il est victime a été orchestré au plus haut sommet de l'Etat. Affronter Hollande plutôt que ses rivaux présidentiables directs comporte des avantages médiatiques, politiques et électoraux insouspçonnés. L'effet médiatique y est dans tous les cas. La question est de savoir à qui reviendra l'avantage de l'imbroglio. Or justement, Hollande étant sur le départ, c'est tactiquement la cible la mieux indiquée. Je ne comprends rien en politique car elle nous offre des scénarios imprévisibles. Attention, je ne dis pas que c'est un tissage car M. Fillon sait très bien de quoi il a parlé en exposant les méfaits supposés de Mr. Hollande. Pendant la campagne tous les coups sont permis.
Du côté du fleuve Congo, on en est encore à débattre de l'application des Accords de la Saint Sylvestre. Accords signés dans la peine et qui peinent à se réaliser. Comme quoi la politique a ses revers. Et même encore, sa part d'incertitudes sauf peut-être dans les têtes de ceux qui manoeuvrent ces intriguesm les nageurs en eaux troubles. Y aura-t-il élections? Y aura pas? La situation est vraiment difficile à trancher que ce soit pour les leaders politiques que pour le peuple congolais.
Du côté du fleuve Congo, on en est encore à débattre de l'application des Accords de la Saint Sylvestre. Accords signés dans la peine et qui peinent à se réaliser. Comme quoi la politique a ses revers. Et même encore, sa part d'incertitudes sauf peut-être dans les têtes de ceux qui manoeuvrent ces intriguesm les nageurs en eaux troubles. Y aura-t-il élections? Y aura pas? La situation est vraiment difficile à trancher que ce soit pour les leaders politiques que pour le peuple congolais.
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