Retourné à la Barbade, je suis retourné aussi à mes affaires quotidiennes: école des enfants, plages, uni, école des enfants, crochet ici ou là, retour à la maison. Mis à part certains jours où il y a des activités extra-muros, tel est le train de vie ordinaire. Parfois des réunions venues de nulle part surgissent dans mon univers, m'obligeant d'y participer parfois contre mon gré. Soit. C'est aussi cela la vie à l'université. Là, je dois m'acquitter de certaines formalités de routine avec les examens dans deux examens. Ensuite, il y a le symposium de philosophie où je dois présenter une contribution sur la littérature caribéenne à travers ses liens avec l'Afrique. J'analyserai un roman de Maryse Condé, En attendant la montée des eaux, pour y examiner la complexité des rapports visibles et souterrains qui existent entre les deux rives de l'Atlantique. Après les examens, un symposium de traduction.Tout de suite, je crois que j'effectuerai un voyage outre-atlantique mais j'attends encore des précisions sur les détails de ce voyage. Puis une autre conférence, celle de l'AFTA (African Theatre Association) en juillet. Tout en étant présent dans les comités organisateurs, j'y présenterai aussi des contributions. J'aurai au total exposé quelque cinq présentations sur place à Cave Hill au cours de cette année académique 2016-17. L'avantage de les avoir ici est que ces conférences ne me coûtent rien en termes de voyage, ni visa, ni séjour. J'en profite donc quand je le peux.
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