Je me suis réveillé ce matin avec une chose en tête: aller subir une intervention dentale ou dentaire. Je ne sais pas la bonne expression. Avoir à tenir sa bouche ouverte pendant presque une heure, c'est un calvaire qui vous laisse parfois marqué pour le reste de la journée. Hier, j'en ai parlé avec mon pote, lui à plus de 60 ans, n'a jamais été chez un dentiste. J'y ai été allé deux ou trois fois auparavant, une fois à Fribourg, une fois Eislingen, et une autre fois à Kornwestheim. Jamais au Congo. A la Barbade, on y va tous les six mois. C'est remboursé par l'assurance. Et bien sûr ces mercenaires savent vous vendre les meilleurs produits dans le domaines. Une opération de deux heures qui vous coûte presque mille dollars. Ils se la coulent douce.
J'ai annulé deux réunions, ou mieux j'ai décliné deux réunions annoncées trop tard alors que mon rendez-vous médical datait déjà de plusieurs mois. Le coronavirus n'a pas favorisé beaucoup de flexibilité, car si je le ratais, le prochain rendez-vous serait en janvier ou en février 2021. Or ça trainait déjà. J'y suis donc arrivé à temps; j'ai dû attendre une vingtaine de minutes avant d'être reçu. A la fin de la consultation et des soins médicaux, je suis retourné à la maison. Je me sentais mal à l'aise, pris de vertige à la suite des anesthésies reçues. De la maison, j'ai répondu à quelques emails, fait quelques appels, étudié quelques dossiers. La secrétaire m'a informé qu'il y avait quelques documents à signer mais qui pouvaient attendre mon retour au bureau. Je les signerai demain.
Dans la soirée, j'ai conduit les jumeaux à leur formation de confirmation à l'église paroissiale de St Dominique. Il était 21 heures lorsque nous avons retrouvé nos pénates. Tout est bien qui finit bien. Une journée assez insolite quand même, soumise à l'improvisation et à l'imprévu.
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